Légende créé par Cynorab

Depuis quelques mois, Je suis en construction d'un (voir plusieurs) récit imaginaire. Des futurs livres espéront- le .

Bien ce que j'ai imaginé ne soit pas encore sur papier d'ordinateur ( j'ai n'ai écrit quelque chapitre), j'ai déjà inventé une légende propre à ce monde.

Le titre temporaire de mon histoire est : Le monde de Martelin.

un Jeune enfant Humain élevé parmi les Elfes, mais destiné à confronter maintes danger.

Si vous désirez, je peux mettre ici la légende d'Ômmahi: une histoire qu'un sage racontera un jour à mon jeune héro en devenir.

Pas la peine de dire que je suis à la fois fière et gêné présenté mes écrits, mais on n'avance pas si on n'essaie pas.

Cool... J'ai hâte d'aller dans ma librairie acheter ton livre

En tout cas je veux bien que tu nous fasses partager tes écris

La légende d’Ômmahi

Histoire vécue par l’ancien Intendant d’un royaume disparut

Il existait, autrefois, un grand et magnifique royaume dans les montagnes du nord. Des bons Rois s’étaient succédés de générations en génération, bien chacun de leur règne furent différent, cyclique. Les sévères se succédant au cléments et ainsi de suite, mais tous restaient profondément juste et clairvoyant. Les frères et les sœurs de ces Rois leur demeuraient fidèles et tout aussi justes et importants. De bons sages, de bons mages, de bonnes enchanteresses, le tout fournissant de bons conseils.

Il en était ainsi jusqu’à la naissance de Triplé. Deux garçons et une fille. Cet évènement était déjà exceptionnel en soi, mais la vieille tante du Roi lui mit en garde :
« Un enfant pour la Paix, Un enfant pour la Guerre et un enfant pour les concilier. Le pire arrivera lorsque ce dernier sera tué. Le Royaume sera engloutie par les ténèbres et sa grandeur oublié, jusqu’au retour de l’héritier de la Paix…»

Pendant leurs jeunes années, tout se passaient normalement. Les jeunes s’entraînaient, s’amusaient, se querellaient et avaient leurs propres visions du monde. Le Roi ne leur jamais révélé qui était l’aîné des trois, en espérant de contrer la prophétie et de nommer l’enfant de paix en héritier.

Puis, ils devinrent de jeunes adultes. Le Roi leur confiait souvent des responsabilités diplomatiques, pour les former, mais surtout pour les départager.

L’un des fils était devenu un grand guerrier, un grand stratège de terrain. L’autre jeune homme était un puissant mage et réfléchit. Chacun était fidèle au royaume, chacun remportait des victoires à leur façon, chacun méritait l’affection et l’attention de leur père. Souvent, des disputes se produisaient entre les frères sur leurs idées du comment gérer une guerre ou un parlementaire, mais l’amour fraternel était plus fort. Surtout avec les interventions de la sœur.

Au premier abord, le roi commençait à se faire une idée de la prophétie. Son fils guerrier aimait se battre et qu’il le faisait, pour le moment, pour le bien de tous et chacun. Son Mage dédaignait se battre, mais il le faisait si besoin est et préférait la paix. Sa fille, une toute aussi puissante Enchanteresse que l’était déjà son Mage, tempérait plus de coutume le caractère des deux frères. Alors, le Roi prit certaines dispositions…

Au guerrier, il lui fit faire plus de rencontre avec des diplomates et le faire accompagner par une dame sage d’un peuple voisin. Une dame qui saurait lui enseigner les bienfaits d’un royaume pacifique et des bienséances pour l’esprit. Le pauvre dû supporter d’avoir une philosophe dans ses pattes et à subir pour chaque actions ou décisions un million de phrases sensées de le faire réfléchir plus en profondeur, pour l’élévation de son âme. Bien qu’au début, il la trouvait harassante, cela ne l’a pas empêché les épousailles l’année suivante.

Pour le Mage, déjà sage de nature, le Roi lui confia plus de campagnes avec les soldats de son frère. Ainsi, il espérait endurcir l’enfant de Paix si celui de Guerre se rebellait. Au début, les résultats ne furent guère très reluisant, mais le mage acquis rapidement de l’expérience et de l’assurance avec le jeu d’échec préféré grandeur nature de son frère. Même qu’au bout de quelque mois, ses réussites étaient devenues plus spectaculaires que le guerrier, devenant une légende vivante parmi son peuple. Admiré dans le royaume de son père, beaucoup ignorait qu’il était également craint chez les états voisins… Il fallait dire que la rumeur courait qu’il avait terrassé à lui seul, armé uniquement de son bâton noir, toute une armée gobelin qui menaçait un royaume voisin. Cinq cents têtes en un seul sort. En résumer, les voisins ne voulaient, à aucun prix, être son ennemie…

Pour la douce et belle princesse, Le Roi voulut la protéger en lui proposant de voyager, de faire des rencontres, d’aider ceux qu’elle rencontrait sur la route. Il espérait qu’en l’éloignant du royaume, il lui éviterait la mort prédite de l’enfant réconciliant. C’était ainsi que l’enchanteresse devint connue sur tout le continent, sa générosité et son savoir en magie la précédant d’un pays à l’autre. Beaucoup lui demandait conseil, beaucoup voulait échanger leurs savoirs et beaucoup disait d’elle : « Une ange envoyée du ciel pour nous tous». Puis, elle trouva un homme qui su battre son cœur. Il était du sang royal, mais il n’était pas le dauphin et elle s’en fichait. On disait de lui que c’était Un Prince des Princes. Un être alliant parfaitement magie, force, habilité et noblesse du cœur. Le mariage ne fut pas attendre, dont nul ne désapprouvait.

Lorsque le roi vit porter admirablement bien les fruits de ses actions, il poussa un soupir de soulagement, … Mais quelque chose rongeait son esprit. Pourquoi il préférait voir sa fille unique sur le trône? Jamais il ne confia son doute, pas même sur le tombeau de sa femme. Personne ne sut, à part le doute caché dans les profondeurs de l’esprit du Roi, de la catastrophe à venir.

L’inévitable se préparait lorsque le frère Guerrier prit conscience de la réputation de son frère mage durant un voyage familiale. Ayant depuis le temps acquis une sagesse en côtoyant sa femme, il désapprouvait les actions de son frère et la confrontation à ce sujet était maintenant inévitable. Le frère mage savait écouter de nature lorsqu’on lui disait de bons arguments. Convaincu de ne plus être le meilleur élément pour être à la tête d’une société qui se voulait pacifique, il acceptait les conseils de son frère de renoncer au trône.

Une fois cette décision prise, il eu un léger problème. Il restait maintenant deux possibilités pour le Roi de choisir son dauphin et malheureusement, chaque frère n’avait pas la même idée en tête sur la personne qui occuperait cette place. Le mage pensait que leur sœur serait l’idéal, tandis que le guerrier croyait que son frère appuyait sa propre candidature dans cette démarche.

Lorsque le Roi devint malade, tout s’enchaîna. Ce fut le frère guerrier qui arriva en premier au chevet de son père. Craignant la mort de ce dernier, il décida de lui parler de successions et tentait d’influencer le choix en sa faveur. Ce fut une grave erreur, car le mage avait tout entendu et le prit comme une haute trahison envers lui et leur soeur. Il prit l’épée ancestrale que possédait le guerrier et lui transperça le cœur dans un cri de folie et de rage. Le pauvre Roi qui assista à cette scène en fut estomaqué. Face au regard du père, le mage s’époumona d’explication pour son horrible geste. Peut-être tentait-il d’expliquer à lui-même pourquoi il avait perdu son brillant et célèbre sang froid?

Voilà les perversités du destin et le mage le comprit lorsqu’il entendit son père murmurer le mot prophétie. Durant toute la vie des enfants, le Bon Roi avant fait tous les efforts nécessaires pour qu’elle ne se réalise pas. Maintenant, la question qui lui brûlait les lèvres était : « Est-ce que le mage fut dès le départ désigné comme celui qui commettra le fratricide ou est-ce le destin qui voulais absolument que cette acte soit fait, peu importe l’enfant qui la commettrait?».

Dans l’esprit du mage, cette question était passée depuis longtemps. Convaincu d’être celui qui emmènera son peuple dans les ténèbres, il décida de prendre les devants. Rien dans les premières semaines n’indiqua son changement d’esprit. On enterra son frère, qu’on disait mort accidentellement.

Vu la santé du Roi dépérissait, le mage commençait à régner de façon intérim sur le royaume. Rien ne présageait ce qu’il avait en tête. Tous se disaient, en voyant son air sombre et sobre, qu’il souffrait de la mort atroce de son frère et du poids qu’il avait sur les épaules lorsque son père mourrait. Cette image était renforcé lorsqu’il prit son neveu de cinq ans sous son aile et consolait la veuve. Voilà un futur noble roi, se disait-on.

Le mage prenait des décisions sans grandes envergures, car il savait ne pas encore officiellement Roi. Se contentant de réviser les troupes et savoir où allait la fidélité du peuple : Lui ou Elle. Fort de constater qu’on le respectait, mais que son peuple préférait d’avantage l’enchanteresse, éliminer délibérément sa sœur n’était pas la décision la plus sage. Cela remettrait en question la mort du guerrier et du coup la notoriété du mage. Non, il fallait simplement qu’elle soit hors d’état de nuire. Telle était sa conclusion.

Lorsqu’il se senti prêt de prendre pleinement possession du pouvoir, il envoya une invitation à sa sœur de venir au chevet de leur père mourrant, que ce dernier la réclamait. Ce qui n’était pas la vérité, car le vieux Roi avait longtemps avoué à son fidèle intendant qu’il voulait encore la tenir loin, la protéger. Lorsque l’intendant entendu parler de cette invitation, il comprit le danger et quitta discrètement le château pour prévenir l’enchanteresse. Il ignorait à ce moment là que c’était la dernière fois qu’il verrait ce royaume qui avait toujours été sa maison.

L’intendant espérait arriver avant le messager du mage au royaume lointain, plus à l’ouest. Ses souhaits se sont exaucés en rencontrant sur la route un vieux magicien accompagné de son apprenti. L’intendant expliqua rapidement la situation en lui demandant si connaissait un moyen magique de se rendre à la résidence de l’enchanteresse. Non seulement le magicien lui répondit par affirmation, mais qu’il avait lut dans les étoiles de grands bouleversements et que les prophéties du feu lui avait parler de «deux messagers sur la route, tous deux préviennent la banqueroute. Les ténèbres avances, protéger l’enfant des lances». L’intendant ne comprit pas sur le coup la portée de la dernière prédiction.

Le magicien ouvrit un portail où l’on vit un magnifique château entouré de valons champêtres, qui contrastait avec les montagnes escarpés derrière eux et les champs sauvages du sud devant eux. L’apprenti entra dans le portail au contour lumineux. Rassuré par ce prodige magique, l’intendant avait suivit et le vieux magicien referma cette déchirure dans l’espace-temps une fois aussi de ce côté.

L’intendant était au bord de la joie, il avait plusieurs jours d’avance sur le messager du mage, voir plusieurs semaines.

Les trois visiteurs furent accueillis au château par la famille Royal. L’enchanteresse embrassa l’intendant comme un parent et était heureuse de présenter son fils. Bien qu’il ressemblait à son père, le poupon d’environ un an avait ce petit quelque chose bien caractéristique de la famille de sa mère : un regard naturellement sage et observateur.
Durant le séjour où l’intendant expliqua du mieux qu’il le pu de la situation dans l’ancien royaume de l’enchanteresse et sur la nécessiter de ne pas y retourner, il avait également contempler l’enfant. Les deux magiciens ne pouvaient se contenir devant les prouesses naturelles du bambin. Le père, de son côté, était ravi de présenter ses jeux qui démontraient les habilités de l’enfant.

L’intendant se demandait évidemment, connaissant la prophétie : «Est-ce l’enfant de la paix qui sortira leur royaume des ténèbres dans duquel il plongera inexorablement?»

Les rencontres avec l’enchanteresse ne se passèrent pas comme prévu. Ordre ou non, elle tenait aller voir son père et peut-être neutraliser son frère s’il s’avérait effectivement dangereux. Même l’intervention du vieux magicien ne la fit pas changer d’idée. Elle se sentait responsable de son royaume d’origine et il en n’était pas question de l’abandonner à un terrible sort. Par contre, le magicien avait réussi à la convaincre de transporter sur elle une perle de dragon. Ainsi, au moindre danger, on pouvait envoyer l’enfant de l’enchanteresse à l’abri, le temps de la sauver. Le magicien connaissait un lieu sûr, mais fallait taire l’endroit pour empêcher d’éventuel espion du mage à les retrouver facilement.

Ainsi, lorsque le messager arriva, l’enchanteresse parti avec lui, la perle en poche et tout un royaume craignant pour elle. Avec raison, car on n’a depuis eu aucune nouvelle de la belle et merveilleuse dame des montagnes du nord.

Son mari connaissait aussi la technique des prophéties du feu et ce qu’il lut était pire ce que le vieux magicien leur avait dit. De sa propre initiative, il engagea ses plus valeureux et fidèle soldats, il se prépara pour un long voyage et demanda aux magiciens de les conduire vers la cachette pour le salut de son fils unique. Encore là, on ne sait plus ce qu’il leur advint, mais tous espérèrent qu’ils ont atteints leur but.

Quelques années plus tard, la rumeur coura que l’armée figé dans la pierre dans la tour de garde des montagnes des Sœurs Désolées était celui du Prince. Comme personne ne pouvait reconnaître ces gens venus de loin et qu’ils n’y a pas de statuette d’enfant, Tous croyaient que ce n’était que de simples soldats déjà positionné à cet endroit et qui ont été les premières victimes du Roi sorcier Despotgen, qui commença son ascension à cet époque.

Nul ne sait ce qui était arrivé à l’enchanteresse. Nul ne sait ce qui était arrivé à l’escorte du Prince. Nul ne sait ce qui était arrivé au royaume des montagnes du Nord. Nul ne sait ce qu’a fait le frère mage. Ce fut toute une époque qui fut éteinte, oublié par les ages et la peur.

Tout ce qui est maintenant certain, c’est l’espoir que cet enfant et ses descendants soient en toujours en vie afin que puisse accomplir leur part de la prophétie…

Pfffffffff
J'aime pas rester dans le flou à la fin, ça à pour effet de m'enerver ^^
En tout cas, très très bon récit, un peu beaucoup long, mais bien

merci 8.G

j'admet que cette légende est tiré de mon monde qui devient de plus en plus complexe, donc il est un peu normal qu'elle soit un peu longue.

Sans compté que le récit de l'intendant fut consigner dans presque dans sa grande totalité.

Ce qui est dommage, c'est que je ne peux pas mettre dans cette légende ce qui est arrivé à l'enchanteresse une fois au chevet de son père et le sort que le mage lui a réserver... Par contre, ça fera une bonne intrigue pour Martelin, qui le découvrira.

LOL
A croire que tu t'y perds en l'écrivant ^^
C'est sur que ça ne doit pas être facil de retenir certain détail...
Et pourquoi tu ne ne peux pas mettre dans cette légende ce qui est arrivé à l'enchanteresse une fois au chevet de son père et le sort que le mage lui a réserver...
Si j'ai pas la suite avant la fin du serveur, je te poursuivrais sur tous les autres jusqu'à ce que je te trouve pour te poutrer à coup de béliers et cata' ^^

Hum désolé d'être en retard mais j'ai eux pas mal de rp à lire ses temps si ^^

Je le trouve trés beau et comme 8.G si j'ai pas la suite je pars en campagne avec lui ^^

La raison du pourquoi je ne peux pas mettre «l'enchanteresse au chevet de son père» est que l'ancien intendant n'y était pas.

donc, l'intendant ne pouvait raconter ce qui s'est passé à ce moment là...

comme je ne veux pas volé l'une des quêtes de Martelin, tout ce que je peux dire:

- Le mage a gagné son duel en emprisonnant sa soeur.

- La nouvelle prison de l'enchanteresse lui permet de ne pas veillir, mais elle ne peut pas utiliser ses pouvoirs.

- Avant qu'Elle allait à la rencontre de son frere, l'enchanteresse a prit son Joyau «Le Flocon des Neiges» qu'elle portait autour du cou et ensorcela les terres de son royaume d'origine en le déposant sur la terre.

Ainsi, si elle avait gagné le duel, elle reviendrait le chercher et empêcherait les terres de vivre sous un hiver permanent.

Malheureusement (ou tel est son plan en conséquence), Le joyau fit son travail, forcant son frere et le peuple à déménager. l'enchanteresse espérait que le pouvoir légiatif de son frere se perdrait en étant réfugier climatique chez leurs voisins.

Elle sous-estima son frere...


alors? satisfait de la suite?

Mouais......
Peu mieu faire ^^

justement, mais je ne suis pas rendu là dans mes écrit... dommage